23 juin 2005
triste
Mon amour que je suis triste
De te voir ainsi diminué...
Te voilà chez les déments
Et cette fois c’est vraiment
Qui rit à quarante ans d’un sguegue
Ou d’un autre qui est bègue
Que tu te sentes perdu
Là oui, ça c’est bien vu
Pour ne pas y être le seul non débile
Fallait pas jouer à des jeux puérils...
Aujourd’hui te voilà enfermé
Sans pouvoir en avoir la clef
Tu n’es peut-être pas maître de ton passé
Mais ton avenir n’est pas encore classé
Et c’est à toi de le saisir.
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